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Notes sur le tag : lionel-Édouard martin

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Dernières notes

Comment garder les couleurs du temps ?

Lionel-Édouard Martin, Tout était devenu trop blanc , le Réalgar, 2019 Dans le village de M***, le narrateur, qui lorsqu’il était étudiant en lettres avait trouvé un petit emploi de guide au musée municipal, avait par la même occasion appris que les peintres locaux ne manquèrent pas à la fin du XIX e siècle et au début du XX e . Et c’est à partir de l’évocation de l’un d’entre eux,...

Publié le 24/09/2019 dans Notes et... par Jean-Pierre Longre | Lire la suite...

La route, les mots

Lionel-Édouard Martin, Icare au labyrinthe , Les éditions du Sonneur, 2016   « Tu prends la route, là, n’importe laquelle, tu débouches sur des mots. Tu peux bien sûr baliser ton itinéraire, savoir où tu vas. Mais tu peux aussi te laisser guider par le hasard, te fier à la rencontre. L’amour, les blagues, l’art : joindre, poser l’insolite, tracer du neuf dans le...

Publié le 08/11/2016 dans Notes et... par Jean-Pierre Longre | Lire la suite...

En quête des autres, en quête de soi

Lionel-Édouard Martin, Anaïs ou les Gravières , Les éditions du Sonneur, 2012 Est-il pensable de trouver dans un roman d’aujourd’hui des mots comme « voussure », « fluer », « s’aboucher », « croquemitaine », « floches », des expressions comme « botteler les possibles », « j’hypallageais pas mal sur la...

Publié le 21/05/2012 dans Notes et... par Jean-Pierre Longre | Lire la suite...

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